Édition 2021
Les illustrateurs·trices
Julie Safirstein
Julie Safirstein vit et travaille à Paris. En 2013, elle publie aux éditions Maeght une collection de livres lithographiés Poésies dessinées, qui est une invitation à dessiner et qui instaure un dialogue entre arts graphiques et poésie. Elle n’aura de cesse d’interroger la couleur, le papier, sa mise en volume. Elle construit un lexique d’images pour les jeux Memo des fleurs et Memo des feuilles (MeMo, 2012). Puis, elle publie en 2014 Le Jour la nuit tout autour (Hélium, Prix des libraires et bibliothèques jeunesse, Prix du Val de Marne), un album dont les monochromes font jaillir formes et couleurs et qui fait défiler, au fil des pages et de manière ludique, le jour, la nuit, les structures temporelles et spatiales, les rapports de proximité, d’abstraction et de figuration.
Dans Et j’ai rêvé le jour, à paraître le 2 novembre 2021, le jeu des calques prend le pas sur les déchirures de papier ; les couleurs et les formes s’ébattent et se transforment en un vertige de figures. Un livre inventif, ludique, entre graphie et cosmogonie.
Julie Safirstein est une artiste visuelle, elle développe ses recherches dans différents champs : dessin, installation, création d’objets, illustration. Elle conçoit des scénographies (Hermès, à Paris), expose des sculptures telles des ossatures de papier, d’aluminium ou de tissu – des matériaux qu’elle plie, évide ou superpose (Lux, Cabanes).
Replacé dans le continuum créatif de l’artiste, l’on perçoit aisément que ses albums sont portés par un ensemble plus vaste, celui de jeux infinis de lumière, circulations, transformations, à hauteur d’enfant.
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Julie Safirstein vit et travaille à Paris. En 2013, elle publie aux éditions Maeght une collection de livres lithographiés Poésies dessinées, qui est une invitation à dessiner et qui instaure un dialogue entre arts graphiques et poésie. Elle n’aura de cesse d’interroger la couleur, le papier, sa mise en volume. Elle construit un lexique d’images pour les jeux Memo des fleurs et Memo des feuilles (MeMo, 2012). Puis, elle publie en 2014 Le Jour la nuit tout autour (Hélium, Prix des libraires et bibliothèques jeunesse, Prix du Val de Marne), un album dont les monochromes font jaillir formes et couleurs et qui fait défiler, au fil des pages et de manière ludique, le jour, la nuit, les structures temporelles et spatiales, les rapports de proximité, d’abstraction et de figuration.
Dans Et j’ai rêvé le jour, à paraître le 2 novembre 2021, le jeu des calques prend le pas sur les déchirures de papier ; les couleurs et les formes s’ébattent et se transforment en un vertige de figures. Un livre inventif, ludique, entre graphie et cosmogonie.
Julie Safirstein est une artiste visuelle, elle développe ses recherches dans différents champs : dessin, installation, création d’objets, illustration. Elle conçoit des scénographies (Hermès, à Paris), expose des sculptures telles des ossatures de papier, d’aluminium ou de tissu – des matériaux qu’elle plie, évide ou superpose (Lux, Cabanes).
Replacé dans le continuum créatif de l’artiste, l’on perçoit aisément que ses albums sont portés par un ensemble plus vaste, celui de jeux infinis de lumière, circulations, transformations, à hauteur d’enfant.