Édition 2021
Les illustrateurs·trices
Gerda Dendooven
Gerda Dendooven a fait des études de graphisme à Gand en Belgique. Elle est aujourd’hui une figure majeure de l’illustration, nominée en 1996 pour le prestigieux prix Andersen et primée à de nombreuses reprises.
C’est avec un album singulier Ma maman à nous qu’elle se fait connaître en France au début des années 2000. Suivent Petit lapin stupide et Vivre sans moi je ne peux pas, tous publiés chez Être éditions (indisponibles) et qui semblent répondre à une urgence, une interrogation personnelle. L’auteure y mêle des techniques graphiques différentes. La force des papiers découpés, la délicatesse des encres, la naïveté des traits de crayon de couleur témoignent d’un monde en mouvement et soulignent la vigoureuse originalité du ton et du propos.
Gerda Dendooven illustre également les textes d’auteurs flamands tel Bart Moeyaert avec L’Oie et son frère aux éditions La Joie de lire (2018), un album où les volatiles s’interrogent sur le sens de la vie, sur l’intolérance, la jalousie, la solitude et la vantardise. Elle illustre les textes poétiques, tour à tour drôles ou oniriques, de Carl Norac (Vent d’hiver, La Joie de lire, 2020). Elle signe Va et vient (Éditions du Rouergue, 2020), l’histoire de deux amis dont l’échange épistolaire traverse le livre… et qui se lit dans les deux sens. En Belgique, elle est également connue pour ses pièces de théâtre jeune public. Elle enseigne le graphisme à l’Institut Saint-Luc de Gand.
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Gerda Dendooven a fait des études de graphisme à Gand en Belgique. Elle est aujourd’hui une figure majeure de l’illustration, nominée en 1996 pour le prestigieux prix Andersen et primée à de nombreuses reprises.
C’est avec un album singulier Ma maman à nous qu’elle se fait connaître en France au début des années 2000. Suivent Petit lapin stupide et Vivre sans moi je ne peux pas, tous publiés chez Être éditions (indisponibles) et qui semblent répondre à une urgence, une interrogation personnelle. L’auteure y mêle des techniques graphiques différentes. La force des papiers découpés, la délicatesse des encres, la naïveté des traits de crayon de couleur témoignent d’un monde en mouvement et soulignent la vigoureuse originalité du ton et du propos.
Gerda Dendooven illustre également les textes d’auteurs flamands tel Bart Moeyaert avec L’Oie et son frère aux éditions La Joie de lire (2018), un album où les volatiles s’interrogent sur le sens de la vie, sur l’intolérance, la jalousie, la solitude et la vantardise. Elle illustre les textes poétiques, tour à tour drôles ou oniriques, de Carl Norac (Vent d’hiver, La Joie de lire, 2020). Elle signe Va et vient (Éditions du Rouergue, 2020), l’histoire de deux amis dont l’échange épistolaire traverse le livre… et qui se lit dans les deux sens. En Belgique, elle est également connue pour ses pièces de théâtre jeune public. Elle enseigne le graphisme à l’Institut Saint-Luc de Gand.
