Édition 2023
Les illustrateurs·trices
Zaü
Zaü fait ses débuts de « roughman » dans la publicité en répondant à de nombreuses commandes de marques connues. Il y forge cette efficacité du trait, qu’il mettra également au service de la presse et de l’illustration jeunesse.
Il publie son premier album jeunesse à 24 ans, en 1967, à L’École des loisirs, et travaillera par la suite sur de nombreux ouvrages destinés à la jeunesse, collaborant notamment avec les éditions du Père Castor-Flammarion, Nathan, Rageot, Gallimard ou encore Larousse. Il illustrera des albums pour Alain Serres, chez Rue du Monde, dès la création de la maison d’édition, en 1997. L’éditeur lui propose alors des textes ouverts sur les autres cultures, la citoyenneté, le voyage… L’album Une cuisine grande comme le monde (Rue du monde, 2001) l’impose aux yeux du grand public. En 2011, il reçoit, à Moulins, le Grand Prix de l’Illustration jeunesse, décerné par le Département de l’Allier, pour Mandela, l’Africain multicolore (Rue du monde, 2010).
Zaü fait ses débuts de « roughman » dans la publicité en répondant à de nombreuses commandes de marques connues. Il y forge cette efficacité du trait, qu’il mettra également au service de la presse et de l’illustration jeunesse.
Il publie son premier album jeunesse à 24 ans, en 1967, à L’École des loisirs, et travaillera par la suite sur de nombreux ouvrages destinés à la jeunesse, collaborant notamment avec les éditions du Père Castor-Flammarion, Nathan, Rageot, Gallimard ou encore Larousse. Il illustrera des albums pour Alain Serres, chez Rue du Monde, dès la création de la maison d’édition, en 1997. L’éditeur lui propose alors des textes ouverts sur les autres cultures, la citoyenneté, le voyage… L’album Une cuisine grande comme le monde (Rue du monde, 2001) l’impose aux yeux du grand public. En 2011, il reçoit, à Moulins, le Grand Prix de l’Illustration jeunesse, décerné par le Département de l’Allier, pour Mandela, l’Africain multicolore (Rue du monde, 2010).
